Concours !

Gaymes, Posté le vendredi 26 octobre 2012 15:38

Je participe au concours :) Et voici mon texte :

" - Je te déteste. Ouais, j'ai beaucoup de haine envers toi mais à côté de ça, je t'aimerais toujours. Tu m'as lâchée, un matin, par message en plus, quelle lâcheté. Mais toi, tu avais quelqu'un qui te soutenais, dans ta vie sans moi. Moi j'avais personnes, j'étais seule, horriblement seule. Tu étais mon repère, tu étais tout pour moi, tout tu entends ? Et sur un coup de tête, en une fraction de seconde, je n'avais plus rien. J'ai tout perdu.
- Tu t'entends parler ? Non mais sérieusement, tu t'entends ? On a l'impression que tu parles de nous comme un couple. T'es tombée sur la tête ou quoi ? Tu croyais vraiment que notre complicité allait durer toute une vie ? C'est vrai, tu n'avais personnes pour t'aider à te relever. Je t'ai laissé tomber, comme une vieille chaussette, comme une merde, il faut bien dire ce qui est, et tu n'avais personnes. Seule comme tu le dis si bien. Alors c'est pour ça que tu as sombrée. Mademoiselle s'est mise à fumer. Mademoiselle s'est mise aux manières de pétasses. Mademoiselle traîne avec les plus populaires mais surtout les plus cons. Mademoiselle devient hautaine. Et Mademoiselle se permet de jouer aux petites bourgeoises.
- Tu es l'unique responsable de tout ça. Tout ça, toutes les conséquences, c'est par ta faute. J'étais un poids dans ta vie, un boulet qui t'empêcher d'avancer, qui t'entraîner vers le fond. Tu as préféré te défaire de moi, c'était ton choix. Maintenant regarde, regarde comme je suis ..
- Une autre. Tu es devenue une autre. Je ne te reconnais plus. Tu m'es totalement étrangère. Tu n'es plus. Il faut bien l'avouer ; l'ancienne toi parfois, dans mes moments de nostalgie, me manque. Mais toi, tu ne me manques pas. Oh non. Toi, tu me répugnes.
- Et toi tu es toujours là, et c'est ce qui fait le plus mal. J'ai mal quand je te vois, quand je t'entends rire. Parce que moi, je ne voulais pas te perdre, je ne voulais pas tomber, pas comme ça, pas à cause de toi .. Oui, toi et moi, je pensais que c'était solide, que c'était pour toujours, à jamais. Moi, j'aurais donné ma vie pour toi, je t'aurais couru après toute ma vie s'il le fallait.
- Et moi je n'aurais même pas essayer de te rattraper. Ce qui est perdu est perdu. Tu le sais pourtant. C'est finit. Et d'ailleurs, tu veux un conseil ? Réalise.
- De quoi ? Réaliser quoi ?
- Que toi et moi, c'est de l'époque ancienne, une époque révolue, passée. Finit. "

Et oui, bien sûr, mon texte pourra être utilisé. Je vous remercie d'avoir lu ! #So'

Youmakemelive, Posté le vendredi 26 octobre 2012 13:00

Je me lance pour un texte.
" Tu sais, ça fais peut-être une heure ou deux que je suis devant mon portable à penser à comment aborder une conversation avec toi. Je sais vraiment pas quoi te dire. Cinq ans qu'on se connait, cinq ans qu'on est amis et qu'on est proche toi et moi c'était évident, mais je crois qu'on l'a pas vue assez tôt. Tout le monde nous le disait pourtant, mais nous on riait ne nous imaginant pas une seconde ensemble. J'étais la gentille romantique et toi le beau parleur oui ont étaient pareil au niveau caractère mais pas compatible sentimentalement. Puis il a fallut que tu tombes amoureux de moi, la personne dont tu ne devais surtout pas tomber amoureux. Mais tu l'as fais, t'as laissé tombé ton éternel audace et tu as ouvert ton coeur. Et moi, je fais quoi dans tout ça. Tu m'as dis que tu m'aimais sachant que j'avais un petit ami, et sachant que ça ne marcherait pas entre nous. Tu es tout ce qu'il faut pas, tu bois, tu fumes, tu es un mauvais garçon, tu es proche de beaucoup de fille . Mais il a fallut que moi aussi je tombe sous ton charme et que je me noie dans tes yeux bleus. Il a fallut que deux personne qui ne devaient pas tomber amoureux se soit retrouver comme deux cons. " Voilà, bon il est pas top mais tirré d'une histoire vrai, même si je ne gagne pas vous pourrez le publier :)

AURELiAxViNTAGE, Posté le vendredi 26 octobre 2012 12:12

Hihi, waah y'a beaucoup d'articles mais bon je tente comme même ma chance. :D ♥

« T'es là, sur la ligne de départ, le stress monte. Un dernier soupir et puis tu réalises qu'il te manque quelque chose. Quelque chose de si fort, de si important. Tu le cherches au loin avec appréhension et cette petite crainte de ne pas le trouver. Mais finalement tu l'aperçois ; des frissons parcourent ton corps, une boule de chaleur dans ton ventre, une joie si forte. Oui, ce sourire te mets à l'aire : tu te sens exister ! C'est pourtant qu'un simple regard mais c'est comme ton obsession. Tu ne peux plus t'en passer et puis l'envie constante d'être avec lui, qu'il te regarde, qu'il te sourit. Tu deviens heureuse, émerveillée.
Tu ne le sais pas encore mais tu tombes amoureuse. »

Un petit peu 'beaucoup' nul. (a)

Bisouuuuuuuuuuux. :*

Is-JOKE, Posté le vendredi 26 octobre 2012 11:22

« J’ai pas besoin de toi pour être heureuse.
Non merci, je veux pas que mon cœur soi brisé. »

«  J’ai pris ton cœur, et toi mon nom. » 

« J’ai pas besoin de toi pour être heureuse.
Non merci, je veux pas que mon cœur soi brisé. »

De moi ( http://Andrea-BPhotographie.skyrock.com ) :noclash: :$

2othSeptember, Posté le vendredi 26 octobre 2012 10:50

Texte: (C'est un seul texte hein ^^)

« Tu me manques. » Trois mots. Autrefois, j’avais du mal a croire les gens qui racontaient que ces trois mots étaient devenus si faciles a dire. Maintenant je les crois. J’en fais les frais.

« Tu dis que tu me manques, mais tu fais rien pour me voir. C’est vrai que oui, c’est compliqué pour venir mais tu pourrais faire un effort.. On a tous les deux envie de se voir, tous les deux envie de se serrer dans les bras, tout les deux envie de se parler. J’aimerais que tu me prouves que je te manque enfaite. Même si on n’est pas en couple. Je voudrais que tu me parle la journée, souvent, que tu m’envoi un message pendant la nuit que je découvrirais le matin en me levant, j’aimerais que tu fasses un peu plus attention à moi. Je ne veux pas juste que tu m’envois des cœurs. Ca ne veut rien dire pour moi. Je suis une fille qui a besoin qu’on la surprenne, qu’on la fasse rire. La journée, je me retiens de pas t’envoyer de messages, pour voir si tu vas m’en envoyer un . Pour voir si tu penses à moi un peu.. Je sais pas comment tu es dans une relation, je sais pas si je peux te faire confiance, je sais pas si tu vas voir ailleurs quand tu es caser. J’ai vraiment pas envie de me planter sur toi, parce que j’ai l’impression qu’on pourrait vivre quelque chose de bien tous les deux. J’ai surtout pas envie de souffir. Parce que j’ai l’impression que je ne m’en remettrais pas. »

Tu peux utiliser mon texte pour un article ou autre !
Bisous :).

Noemie6613, Posté le vendredi 26 octobre 2012 09:35

Bonjour alors je me lance, c'est une très belle occasion pour moi qui adore écrire.. Alors voici quelque texte :

" Tu ne le remarques peut être pas mais je te signales que le soir je suis en larmes pour toi, je m'avachie sur mon lit je pleure les larmes de mon corps et j'attends le temps qui passe, j'attends le jour où tu viendras me voir et me dire que tu m'aimes où simplement j'aimerais que tu me prêtes un peux de ton intention, j'ai mal tu vois ? J'ai mal car tu t'en fous de moi tu fais comme si j'existais
pas, tu joues avec moi, tu sais que moi je suis la.. je suis là à t'aimer comme une folle mais je n'ai rien à en retour, même pas un regard, une parole, un geste, un mot, un signe, rien.. Je suis présente sur Facebook à ce moment même et je fais comme d'habitude cette à dire voir les publications de ton mur, voir si tu es connecter, j'aime tes photos, tes statuts, en conclusion je fais tout pour que tu vois que je suis la, que j'existe, que je ne suis pas invisible et que je t'aime. Quand remarqueras tu que je t'aime, que j'aimerais que tu me parles, que tu m'expliques ce qui ne va pas ? Quand ? En attendant , je reste là , assise, allonge, prenant toutes les positions possible, en essayant de t'oublier, ce qui mets impossible. Alors je pleure, je repleure, je me regarde devant le miroir, je vois mes larmes salé dégouliner sur ma joue, je vois mon mascara détruit.. un peu comme mon coeur vois tu ? "

" Il faut que tu arrêtes tous ça, il faut que tu arrêtes de te torturer, d'avoir tout ces regrets. Pourquoi tu regrettes? C'étais une si belle histoire vous deux alors pourquoi tu regrettes? Tu devrais te souvenir des merveilleux moments que tu as passé avec elle et te réjouir de leurs existence. Ils t'ont rendu tellement heureux. Et ce bonheur n'as pas de prix, ce bonheur, ils sont rares à l'avoir connu, alors réjouis toi. Ils n'ont pas duré le temps escompté, c'est vrai, mais ils ont existé. Alors arrêtes, par pitié, arrêtes de te déchirer, de te faire souffrir de la sorte. Ils t'empoisonnent la vie ces foutus regrets. Va de l'avant, reprends confiance, supprime ces chansons tristes de ton ipod, t'es pas encore prêt à en réécouter.
N'oublies pas, n'oublies rien mais ne regrettes jamais. "

" Et voilà que comme chaque soirs, je me remet à écouter cette musique en boucle, cette fameuse musique qui me fait tant penser à toi. Qui me met le coeur en vrac. Mais qui d'un côté me permet de m'évader, dans un autre monde qui n'est qu'autre que la tristesse et le malheur, ce monde de joie, de bonheur. Mais tu vois, j'essaye quand même de garder espoir qu'un jour, nos rôles s'échangeront, et ce sera moi qui te fera souffrir, moi qui nagera dans le bonheur et toi dans le malheur. Et je peux t'assurer que ce jour là, tu t'en mordras les doigts, et tu regretteras, crois moi. Mais je me demande pourquoi je t'écris ce texte, pourquoi, alors que je sais que tu ne le lira jamais et que tu connaîtras jamais son existence. Après tout, j'en ai besoins, besoins de faire ressortir mes sentiments à travers ce putain d'écrit, mais ça me fait mal, j'ai le coeur en vrac, je crois sincèrement qu'il est bon à ranger au placard. Je ne sais pas ce que tu fais en ce moment, ni si tu m'as oublier, ni ce que tu penses sincèrement de moi, ou bien de nous. En tout cas, moi ce que je fais ? Je pense à toi comme tout le temps. Tu sais, je ne te demande pas le ciel, je ne te demande pas les étoiles, ni la lune, ce que je te demande c'est de t'excuser, reconnaître t'es erreurs. Je veux juste que tu me portes un peu d'attention. "

"Tu sais, j'aurais tellement aimé que les choses se passent autrement.. Qu'aujourd'hui, on soit bel et bien toujours aussi complices et soudés qu'avant. C'est dur sans toi, j'ai pourtant tout fais pour essayer de t'oublier, mais j'aurais beau tenter l'inaccessible, rien n'y fera. J'ai fais de nouvelles rencontres dans l'espoir de pouvoir te remplacer pour ne plus avoir mal, mais au fil des jours j
e me rend compte que rien ni personne ne pourra te remplacer, comme on dit on ne remplace pas l'irremplaçable. C'est horrible ce manque, le tien, absolument rien ne pourra le combler, et je m'en rend compte seulement maintenant. Et tu sais, si je n'arrive pas à t'oublier et te rayer de ma vie, c'est sûrement car tu es censée y rester. Certes, dans le passé tu m'as fais du mal, tu m'as même trahie mais il faut savoir pardonner après tout. Même si cela ne fait pas que la première fois que tu me fais ce coup là. Bref, voilà pourquoi aujourd'hui je décide de te pardonner. Mais garde toujours en tête que je te pardonne, mais je n'oublie pas."

"Parce qu'au fond, je n'ai rien d'exceptionnel. Je suis juste une de ces filles qui fait partie des gens qui s'attachent beaucoup trop vite même en sachant qu'elle finira pas tomber de haut, ces filles qui souffrent de l'amour comme de l'amitié. Une de ces filles qui ne sait plus qui être, qui ne sait plus quoi penser, ni faire, qui se renferme sur elle même et sur cette putain de solitude. Une de ces filles qui pleure en silence, qui crie à l'aide dans l'oreille d'un sourd, qui a peur, qui déprime parfois sans en savoir la raison aussi.. C'est sûrement juste une mauvaise passe après tout, cette passe appelée 'l'adolescence', cette passe un peu plus difficile que les autres, qui bouffe la vie de plusieurs personnes. Parce que oui, je suis comme les autres, oui je pense souvent à me suicider, oui c'est lâche et ignoble, mais quand plus rien ne va, aucune solution te vient pour faire face à la déprime, le suicide refait surface, même si tu sais que tu n'en auras pas le courage.."

Voilà. Je pense que c'est déjà pas mal, étant donné la tonne de commentaires & donc de textes!. Et oui, ils peuvent être mit dans les prochains articles. :)
Bisouus ♥♥.

Confidences, Posté le vendredi 26 octobre 2012 01:36

Bonjour, bonjour, je participe au concours voilà, mon texte :

J'aurais voulu être le genre de fille qui s'aime, qui n'a pas peur de se montrer, une fille qui ne rougis pas quand un garçon la regarde, une fille qui arrive a regarder quelqu'un dans les yeux, une fille exeptionnelle, une fille belle. Une fille qui n'a pas peur de mettre un robe, une fille qui ai aimé de tout le monde, une fille qui ne se fait jamais critiquer, une fille qui à copain, une fille qui n'a pas de problèmes de santé, une fille qui n'est pas obligé de se faire o.... pour ce sentir à nouveau vivante après, une fille qui n'a pas peur de dire ses rêves à tout le monde, une fille qui peux danser en public, une fille qui peux crier quand elle veux, une fille qui ne pleure pas beaucoup, une fille qui ne déprime jamais, une fille qui sais écrire des choses belle, une fille qui peux joué pleins d'instruments, une fille qui peux se confier sur tout, une fille qui est fière d'être elle, une fille qui à pleins d'ami(e)s, une fille qui peux dire je t'aime en face, une fille qui n'a pas peur d'être embrasser, une fille qui réalise ses rêve, une fille talentueuse, généreuse, souriante, marrante, expetionnelle. Une fille jolie, une fille populaire, une fille naturelle, une fille avec un meilleur ami, un fille aqui est photogénique, une fille qui rencontre son idôle, une fille qui peux bouger quand elle le veux, une fille qui est à la mode, une fille qui ne galère pas à trouver sa taille de soutif, une fille qui n'a pas peur du regarde des gens, une fille qui peux tout porter, une fille travailleuse, une fille qui à de bonnes notes, une fille qui est aimé, et qui sais aimé. J'aimerais être ce genre de fille."

#Maëva. Bis'. Pour l'adresse e-mail j'ose pas demander en public dont demander moi et je vous le donnerais merci bien ! ;) ( Pas facebook ! :x )

chiens-love, Posté le jeudi 25 octobre 2012 13:21

vous avez le droit de me prendre ma sitation :

Quand ta meilleure amie partira ... Tu te rendras compte qu'elle comptait vraiment pour toi ....

0ne-DirectionFiction, Posté le jeudi 25 octobre 2012 13:05

Hello !
Je voudrais participer au concours :). (J'espere qu'il est pas fermé :P). Bref je te laisse mon texte, ça me ferais vraiment trèèèèès plaisir que tu prennes le temps de le lire. :)

Au départ je pensais juste que ça allait être passager. Que tu allait entrer dans ma vie, mais seulement l'espace d'un instant, que je te ferais juste une petite place et que tu repartirais aussitôt ; c'était en tous cas ce que j'avais prévu. Mais non, tu t'es imiscé dans mon esprit : ton sourire, tes yeux, ta voix, tes cheveux et ton corps sont encrés en moi. T'es parti avec une autre et t'as laissé une trace indélébile sur ton passage. Ton visage, ta façon de me regarder et tout le reste, ça s'en va pas. T'es toujours là, dès que j'essaye de m'interesser à un autre tu reviens. Merde. Pars, casse toi, dégage ... Comme ci t'étais bien dans mon esprit, t'y a trouvé ta place et puis tu pars plus. Je suis accro à toi et ça me fait souffrir à un point que tu ne peux même pas imaginer.

Voilàà bisous & bonne continuation à ton blog (qui et super), je posterais peut être un autre texte.
#Manon

Przeznaczenie, Posté le jeudi 25 octobre 2012 12:50

Yo! Je reviens faire chier :p Voici 3 textes que vous pourrez utiliser :

« Aujourd'hui, j'écris ce texte pour toutes ces filles qui ont peur. J'écris ce texte pour toutes ces filles qui pleurent le soir dans leurs oreillers, qui aimeraient crier au monde entier qu'elles ont mal, mais qui ne font rien. J'écris pour toutes ces filles qui se croient maudites par l'amour, j'écris pour toutes ces filles qui écoutent la musique en pensant à quelqu'un, à toutes ces filles qui attendent un message qu'elles ne recevront jamais. J'écris pour toutes ces filles qui pensent trop mais n'agissent pas assez, j'écris pour toutes ces filles qui se détestent, qui écoutent les autres parler sans jamais rien dire, pour toutes ces filles qui n'arrivent plus à manger. J'écris pour toutes ces filles qui s'attachent trop vite et qui retombent toujours. J'écris pour toutes ces filles qui restent accrochées à leur téléphone en espérant recevoir un " je t'aime " qu'elles n'auront jamais. J'écris pour toutes ces filles qui n'ont pas confiance en elles, pour toutes ces filles qui ont peur d'aller de l'avant, pour toutes ces filles qui aimeraient changer le monde, pour toutes ces filles qui se donnent à fond dans leurs relations, pour toutes ces filles qui aiment jusqu'à la déchirure, pour toutes ces filles qui n'arrivent pas à détester les gens, pour toutes ces filles qui gardent le sourire aux lèvres même si elles ont mal. J'écris pour toutes ces filles, comme moi qui veulent sauver le monde car le leur est en plein naufrage et qui pourtant, arrivent toujours à dire : " Merci, je vais bien. " »

« Il n'y a rien à expliquer tu vois, à vrai dire c'est une chose qui ne s'explique pas quand elle te tombe dessus. A vrai dire, est-ce qu'on a vraiment envie que ça s'explique ? Non, je ne pense pas. Vois-tu, c'est un truc vraiment énorme. C'est comme si là, une comète venait se scratcher dans ton jardin. Tu ne comprendrais rien, et pourtant tu verrais combien sa beauté irradie. T'aimerais détacher ton regard de cette chose provenue du cosmos, mais tu n'y parviens pas. C'est quelque chose de magique à la fois et... d'effrayant. Car oui, quand une chose comme celle-ci te tombes dessus, tu ne peux qu'avoir peur du résultat. Cette chose tu vois, ce que j'ai ressenti pour toi c'était quelque chose de magique. Dis-toi juste que c'était quelque chose qui dépassait la force de la gravité. Parfois ça me faisait tellement du bien au coeur, que je me demandais comment c'était possible tu sais, de ressentir ce truc là. Tu vois, quand ton coeur bat à toute allure et que tu as l'impression qu'il va exploser, en mode "échec". C'est le truc qui te ronge l'estomac et qui te dégoûte de la nourriture tant ça te suffis. C'est quelque chose qu'on redemande à chaque instant, qui illumine nos journées. Certes, parfois on aura envie de tout envoyer en l'air, mais on ne le fait pas, parce que c'est comme si on était emprisonné dans une toile d'araignée. Tu vois, c'est un truc de merveilleux mais qui échappe à tous les êtres autour de nous, ils nous disent que nous sommes fous, que tout ça n'est que de la supercherie et qu'on devrait arrêter là avant de tomber dans l'idiotie, que nous avons perdu pieds mais pour moi, c'est l'unique façon d'aimer sincèrement que j'ai. Pour moi, quand on aime c'est entièrement, de tout son être. Et parfois, c'est quand on se rend compte que l'on veut en sortir, qu'on y arrive pas. Il y a toujours quelque chose à nous qui nous rattache à cette personne, quelque chose qui peut faire mal, comme faire du bien. Et si je te disais que tu me manques, est-ce que tu me croirais? Parce que même si j'ai pas envie que ce soit vrai, ça l'est. Maudit soit-il. »

« Bien, tu veux que je te parle de moi ? Je vais le faire, même si tu ne veux pas m'écouter. Tu connais mon prénom, tu connais mon âge, tu connais mes parents et même mon adresse mais que connais-tu d'autre ? Connais tu mon passé ? Non. Bien, parlons. Tu ne connais pas l'autre personne que je suis, tu sais que je suis une fille souriante, qui arrive à rire de tout même quand elle a mal au coeur. Mais tu sais pourquoi je suis comme ça ? Parce que je crois pas que la meilleure chose ce soit de tomber dès qu'on en a l'occasion. Alors moi, je bâtis mon propre destin. Tu veux savoir quoi ? Que tu me manques ? Mais ça, tu le sais déjà ! Et le truc, c'est que t'essaies même pas de faire quelque chose, alors ça me ronge de l'intérieur. Je regarde nos photos, et je me dis que je ferais tout pour remonter le temps et récupérer nos souvenirs. J'inventerais la machine à remonter le temps, juste pour pouvoir te retrouver. Il y avait rien de mieux qu'être à tes côtés, tu te rends compte ? RIEN ! Rien de mieux. J'aimerais tant pouvoir faire ça, juste pour que revoir ton sourire. Alors merde, maintenant tu connais ma vie, pourquoi je fais ça, tu connais une partie de moi. Et puis, tu es une partie de moi. Alors maintenant, bouge-toi le cul et reviens avec moi, je t'en prie. »

Bisooous.

ESOxAvalon, Posté le jeudi 25 octobre 2012 12:39

Coucou, alors voilà mon texte, il plutôt personnel en réalité, mais je trouve que c'est l'un des meilleurs que j'ai pu rédiger. J'accepte évidemment que vous le postiez, même si je ne gagne pas (quoique, je pense qu'il ne vaut pas la plupart des textes lu sur ce blog). Je tiens à noter que les trois dernières petites phrases sont comme une signature, c'est ma marque perso' (inutile à dire mais je pense que si non, elles n'ont aucun sens alors...). Bonne lecture :3

Déception. Ma vie est une déception. La conclusion d’un échec qui me détruit de l’intérieur. Aujourd’hui représente la fin de tout espoir et surtout, le début du cauchemar. Je ne peux pas qualifier ce que je
ressens. D’un côté, j’avais encore ce putain d’espoir, celui qui m’a brisé le cœur encore plus que ma découverte elle-même. Je l’avais encore et je me disais que s’Il voyait qui j’étais vraiment, je pourrais lui plaire. D’un autre côté, je prétendais ne plus rien attendre, savoir pertinemment que je ne lui plaisais pas. Et maintenant ? Maintenant, j’ai le cœur en miette. Etouffé. Bousillé. Détruit. Explosé. Il est foutu. J’avais tellement peur de me faire mal que je me suis fracassée bien plus que prévu. Ce matin, j’avais encore ce fol espoir qui me rendait heureuse et ce soir, je suis détruite, il n’y a pas d’autres mots. Je meurs de l’intérieur et j’aimerai pouvoir crier. Crier toute la rage que cela me fait de Le voir avec elle, cette fille si belle, si parfaite… Mais, je n’ai plus la force. Je n’ai plus la force de rien. Je vais juste me laisser mourir de l’intérieur, sans rien faire pour remonter la pente. Et malgré toute cette douleur qui me martèle le cœur, j’espère encore. Encore et toujours. J’espère qu’elle finira par le quitter ou inversement et que je puisse être là, mais… Je ne suis qu’une idiote, une imbécile, une pauvre conne. Il ne m’a jamais remarqué, ce n’était que dans ma tête. Et si c’est le cas, Il m’a bien fait comprendre que je ne l’intéressais pas. Je me sens tellement stupide, maintenant. Non, ce n’était pas Sa meilleure amie, c’était Sa petite-amie, merde ! Suis-je tellement aveugle ? Tellement conne que je n’ai pas remarquée cela plus tôt ? Ce soir, là, maintenant, tout de suite, alors que les nuages pleurent autant que moi, je n’ai qu’une envie : disparaître. Je veux mourir. Partir en fumer, comme mon cœur. N’être plus que de la poussière. Est-ce possible ? J’t’en pris, rends-moi mon cœur ! Car sans lui, tout comme sans toi, je me meurs. Suicide Social. Pensées Suicidaires. Merci le Spleen.

angeltears35, Posté le jeudi 25 octobre 2012 11:31

(suite) Le manque de mon père m'avait touché très profondemment.Je n'en parlait à personne.Il y avait un accord tacite entre ma mère mon frère et moi, jamais en parler. Trop douloureux. Sinon, tout remontait, à la digue de nos yeux, le désespoir, tapis dans un coin de notre mémoire, se pointait et submergeait tout, J'essayai de tenir le cap, de reconstruire ma vie.

H-YouAreMyKriptonite, Posté le jeudi 25 octobre 2012 11:05

L'amour c'est quoi ? C'est un sentiment qui est différent d'une personne à une autre. Pour certains l'amour c'est un compte de fées, un rêve où l'on ne se réveille jamais et pour d'autres, c'est une peur qui nous hante, un sentiment de dégoût. Pour moi l'amour c'est ce que l'on veut que ce soit. Pendant quelques temps cela va être un rêve qui va nous faire palpiter le coeur à chaques instants, qui va nous faire briller les yeux pendant une poignée de secondes et qui va nous faire ressentir des choses que l'on aurait jamais cru pouvoir ressentir un jour. Pendant un autre temps cela va être un moment de solitude où tu as envie de pleurer et de ne faire que ça, un moment où tu as envie de dire STOP, un moment où rien ne va plus. Puis, tu te reprends, tu te dis que la vie continue, qu'il y a pleins d'autres garçons qui te tendent les bras, tu te dis que tu es jeune et que tu dois profiter, tu te dis que les mecs sont tous les mêmes mais au fond, l'amour nous fait vivre. Qui n'as jamais aimé au point d'avoir envie de tout arrêter ? C'est un combat au quotidien. L'amour c'est comme la drogue, quand tu l'as goûter, tu ne peux t'arrêter, cela te hante, tu deviens accro. Moi je pense que ce sont les aléas de la vie, sans l'amour la vie ne serait rien. Chacun en crois et pense ce qu'il veut. Chaque personne l'interprète à sa manière.
L'amour c'est vague. Tu peux être fous amoureux d'une personne au point d'être capable de tout faire, absolument tout pour lui ou elle. L'amour c'est aussi juste un lien. Un lien d'amour entre un père et son fils et une mère et sa fille, ou bien le contraire. L'amour entre frères et soeurs. Ou bien tout simplement l'amour d'un(e) ami(e).
Interprètes ce texte à ta manière. L'amour est différent pour chaques personnes et pour chaques sentiments.

angeltears35, Posté le jeudi 25 octobre 2012 10:35

Je n'avais plus envie de rien, et ne n'avais que douze ans. Ma vie basculait dans le vide. Ma mère m'avait annoncé en pleurant :"Ma chérie, ton père est partie, je suis désolée!!!... elle était terrassée. Je ne voulais pas le croire, je lui dis : "Mais maman, comment c'est possible? " Je m'effondrais, je ne comprenais plus rien. Ce père que j'aimais tant, ne serait plus là pour moi; C'était mon refuge dans ses bras, quand il rentrait du travail. C'est dans sa main que je glissais a mienne lors des ballades, c'était l'être que j'aimais le plus au monde, c'était viscérale, je ne sais l'expliquer, j'aimais ma mère aussi bien sur, mais mon père c'était autre chose, plus fort. Pour moi, c'était absurde. Je ne savais pas ce qu'était la mort, je ne l'avais pas encore toucher de prêt? Et, là elle me montrait son visage de désolation et de néant. A partir du jour ou je sus cette triste nouvelle jusqu'au moment de l'enterrement, je ne me souviens de rien, absence totale de souvenirs. je sais juste que mes oncles ont du gérer le déménagement pour aider ma mère en pleine déprime. J'ai du laisser mes amis, leur faire mes adieux. Le cours de ma vie changeait de région, je quittais la Normandie pour m'installer de nouveau en Bretagne, berceau familiale. C'était mes racines, après tout, cela ne me dérangeait pas, j'avais un lien particulier avec la mer... Je restais replié sur moi même tout mon adolescence, fermer comme un huitre. je détestais tout le monde, ce fut un parcour long et douloureux pour refaire surface et réapprendre a parler aux autres. (suite prochain com)

Tiic-xX, Posté le mercredi 24 octobre 2012 15:19

Alors voilà, je me suis enfin décider à poster mon texte ! J'aime pas trop montrer ce que j'écris mais bon, il faut un début à tout ! ^^' Je tiens à préciser que j'ai eu beaucoup d'inspiration grâce à la musique de Keen'V et que les 3 phrases du début sont les mêmes que le début de sa musique. Je m'excuse aussi pour les fautes, je les aient corrigées mais je parie qu'il y en a encore pleins... --"

"Une cours de récréation comme les autres avec ses disputes et ses petites bagarres. Dans toutes les écoles de France des enfants se font martyriser tous les jours par leurs camarades. Ils sont victimes de harcèlement collectif. 1 enfant sur 10 en est concernés..."

Fanny, petite brune aux yeux vert émeraudes habitait dans une petite citée près de Lyon. Elle était aimée de ses professeurs, de ses camarades, de ses parents. Elle aimait l'école, elle travaillait dur et sa mère en était fière. Elle était heureuse, elle avait beaucoup d'amis, elle était gentille et souriante. Au mois de septembre elle et ses parents déménageaient. Son père avait était muté dans la caserne de Paris et ils devaient partir. Tous allait bien au début. Et ses parents on divorcés... Fanny, déçue, triste et seule se renferma sur la nourriture. Elle prit quelques kilos, un peu trop au goût de ses nouveaux camarades qui s'empressèrent de le lui faire remarquer. Injures, moqueries, Fanny s'en foutait, elle n'y faisait pas attention. Puis, son visage souriant disparus, elle était devenue une petite maussade et ses notes dégringolèrent. Les insultes lui faisait de plus en plus mal. Un soir d'hiver, ne sachant que faire, Fanny, étant sur certains réseaux sociaux, découvrit ce que les autres pensaient d'elle. Des photos de son ventre qui ressortait et de ses petites joues rondelette circulait sur son fil d'actualité. Une photo l'interpellait tout particulièrement. Elle était assise seule à la cantine et elle mangeait une mousse au chocolat. En guise de légende 'Bouffe tout' faisait rire tous le monde. Triste et blessée Fanny se renferma encore plus sur elle même. Ne sachant pas ce qu'il fallait faire, Fanny décidait de se taire. Elle avait honte, elle voulait changer. Mais un soir d'avril, alors qu'elle rentrait seule chez elle, un groupe d'enfants s'approchait d'elle. Fanny les avaient reconnus, c'était ses camarades de classe. Ils l'avaient poussée, ils avaient vidé son sac dans la boue, ils l'insultait. Jusqu'à ce que ça dérape. Fanny, à terre, ce mettait à pleurer, à hurler aussi fort qu'elle put. Elle leur demandait ce qu'ils avaient dans la tête, elle leur reprochait de lui faire du mal que rire du malheur des autres était odieux. Pensant qu'ils allaient l'a laisser tranquille, Fanny continuait son discourt tout en ce relevant. C'est à ce moment qu'un garçon ce mit à lui cracher dans la figure. Les autres firent pareil puis ils l'ont rouée de coups. Quand ils partirent, Fanny se releva. Elle ne pleurait plus. Elle laissa ses affaires éparpillés à terre, elle envoya un message à sa mère "Je suis désolée... Je t'aime ♥' et elle partit. Elle marcha pendant de longues heures, sentant son portable vibrer à cause des appels de sa mère. Quand Fanny arriva à destination elle balança ton portable dans la rivière. Elle enjamba la barrière et elle se mit à pleurer. A pleurer très fort du mal qu'elle avait reçut. Et elle se laissa tomber dans le vide. Quand son corps plongea dans l'eau elle ne fit rien pour remonter. Elle se laissa couler tout en fermant les yeux. Ses poumons s'emplirent peut à peut, son coeur ralentissait à une allure hallucinante. Jusqu'à ce que Fanny s'endormit pour de bon, pour toujours...

"Aujourd'hui une jeune adolescente de 13 ans c'est noyée près de Paris. Sa mère témoigne et se reproche de ne pas avoir vus le mal être de sa fille. Elle dit avoir trouvée son journal intime et accuse ses camarades du collège d'avoir étaient horrible avec sa fille... C'est une mère de 39 ans divorcé et seule qui va devoir refaire sa vie sans sa fille..."

Merci d'avoir pris du temps de le lire, je souhaite bonne chance à tous les autres participants! :)
Bisous bisous (:

Camelia-oublie-pas, Posté le mercredi 24 octobre 2012 13:38

"Tu sais petite soeur, l'amour on t'en parle trop souvent négativement. On te dit que ça fait mal, que ça te détruit, que ça mène à des gestes irréfléchis. On te dit toutes ces choses qui t'empèche de prendre ton envole, qui te retiennent prisonnière. Mais tu sais, toute cette souffrance, toutes ces disputes, ces imcompréhensions, ces absences, c'est ce qui l'entour, cet amour. Ce n'est parfois qu
'éphèmere et même nécessaire dans un couple. Alors n'aies pas peur petite soeur, avoir mal ça arrive à tout le monde, ça se soigne, toujours. Tu sais, j'ai mal moi aussi en te l'expliquant, parce-que moi aussi je souffre de cette absence, de cette distance, de ce doute total. Mais tu sais, tout s'arrange et un jour on sera heureuses, toutes les deux, un jour ne t'inquiète pas.♥"

C'est blessant de passer à côté de quelqu'un en lui adressant un simple sourire, en se souvenant qu'avant cette lumière était multipliée par mille. C'est étrange de regarder quelqu'un marcher de loin et de se rendre compte qu'on ne reconnait plus sa démarche, alors qu'elle nous était tellement familière . C'est déroutant de discuter avec une personne qu'on aimait et de réaliser que sa vie est différente, qu'on ne connait plus rien d'elle,et que d'autres gens nous ont remplacés. C'est terrible de comprendre que rien de tout cela ne peut être prévu, et que chaque personne à qui l'on tient s'éloignera peut-être un jour, car le temps emporte les rires d'enfants et les souvenirs, le temps emporte tout.

Ce sont des textes écrit par mes soins, tu peux les utiliser, evidemment :3