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DesBellesCitations

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Encore & Toujours de l'espoir « Un beau jour, il faut se décider à prendre sa vie en main. Foncer et ne pas s'arrêter. »

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Création : 01/04/2011 à 11:39 Mise à jour : 13/01/2022 à 06:32

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Concours !

» Dans le cadre de notre partenariat, nous avons décidé d'organiser un concours de texte qui
durera jusqu'aux vacances de la Toussaint. (ce qui nous laissera les vacances pour choisir les gagnants). «

Concours !
→ Les règles sont simples :

• C'est un thème libre, vous pourrez écrire sur n'importe quel sujet.
• Il vous suffit de nous envoyer votre texte par commentaire. Pour les personnes qui n'ont pas de blog, nous acceptons de recevoir les textes par message sur notre page Facebook. Si vous n'avez ni blog ni facebook, nous acceptons le texte par commentaire à condition de nous laisser une adresse mail (ou autre) où nous pouvons vous contactez !
• Le texte doit être écrit en français (pas d'abrégé, de langage sms ou de fautes d'orthographes).
• Vous devez préciser dans le message si nous pouvons utiliser votre texte pour nos prochains articles, même si vous n'avez pas remporté le concours. (Vous aurez un lien bien entendu et un remerciement pour la participation).

→ A la suite de ce concours, nous choisirons toutes ensembles un gagnant collectif, qui sera affiché sur tout les blogs faisant partie du partenariat, ainsi que sur la page Facebook avec nos avis sur celui-ci. Et individuellement, nous choisirons un autre gagnant qui sera lui aussi affiché avec un avis, un coup de coeur personnel.
→ En résumant le tout, il s'agit d'un concours de texte au thème libre, ayant 2 gagnants, un choisis collectivement et l'autre personnellement.

Vous pouvez envoyer vos textes dès à présent ! J'ai hâte de vous lire !

Le concours est CLOS ! Je vous fais part des résultats prochainement. Un grand merci pour toutes vos participation, j'ai passé de bons moments à vous lire.

» Dans le cadre de notre partenariat , nous avons décidé d'organiser un concours de texte qui durera jusqu'aux vacances de la Toussaint . ( ce qui nous laissera les vacances pour choisir les gagnants ). « → Les règles sont simples : • C'est un thème libre , vous pourrez écrire sur n'importe quel sujet . • Il vous suffit de nous envoyer votre texte par commentaire . Pour les personnes qui n'ont pas de blog , nous acceptons de recevoir les...

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Tags : Jeu
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#Posté le jeudi 13 septembre 2012 11:24

Modifié le samedi 27 octobre 2012 15:52

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Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.

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Malheur-Sentimental, Posté le dimanche 07 octobre 2012 21:42

La douleur peut être physique ou interne , la plus dure a supportée c'est celle qui nous skwate le coeur . Celle la il n'y a qu'un seul reméde : le temps . Mais sa peut arriver que le temps d'une vie ne suffit pas , on se léve avec chaque matin , pour bien gâcher au moin un peut la journée , on essaue de faire semblant avec les autres et quand le soir pointe le bout de son nez , les larmes tombes . La douleur laisse des cicatrices et des plaies , il suffit d'un endroit , une odeur , une mpusique ou parfois même un message pour bien faire saigner tout sa . Le bonheur se cache souvent derriére la douleur , ils se battent pour savoir qui va avoir sa place mais l'amitier et la pour remettre de l'ordre . Biensûr le bonheur gagne la journée même si il y a toujours une plaie qui brûle mais le soir la douleur l'emporte car les souvenirs reviennent au galop avec les larmes qui ont du mal a cesser .

Il peut être utiliser :)


Malou, Posté le dimanche 07 octobre 2012 12:48

Malou, maaloouuu@hotmail.fr
Bonne lecture :)

Et les personnes qui se sont aimées d’un amour véritable, d’un amour qui défit le temps, la vie, d’un amour qui brave tous les problèmes, d’un amour qui fait face à l’impossible, n’auront de cesse de se retrouver. Peu importe tout ce qui les séparent, peu importe leurs différences, leurs points de vus éloignés et leurs envies peu communes, ils finiront par revenir au point de départ, ensemble. Oui, ces personnes qui sont faites pour être ensemble le seront forcément, comme une évidence, comme la théorie ockhamienne, ou même la gravitation. Le lien qui unit ces deux êtres défit toutes les lois physiques et rationnelles. Ils pourront toujours tenter de s’en détacher, mais leurs c½urs ne battront jamais si vite que pour l’autre, telle une promesse de l’infini, leur amour sera éternel.


MonReve-MonPoney, Posté le dimanche 07 octobre 2012 12:02

Je voudrais participer, évidemment vous pouvez utiliser mon texte :).

Certains passent leur temps à broyer du noir, croire que plus rien ne vaut la peine.
Si on est là, l'un comme l'autre, toi comme moi, c'est sûrement qu'il y a une raison. Ne serait-elle pas de vivre heureux tout simplement ?
Les choses ne sont pas toujours comme on aimerait les voir, les avoir, et les savoir. Mais n'a-t-on donc rien alors ? Si.
Ton emplois du temps es remplis par tes sorties entre amis, soirées, et divertissement. N'est-ce pas ça le bonheur ? Profiter de la vie ensembles ? C'est vrai regarde sur les photos de ton téléphone, les souvenirs que tu entasse, le sourire au lèvres. Et aujourd'hui, comme demain, comme toujours, il te restera toujours des instants de bonheur.
Alors cesses. Cesses de dire que rien n'en vaut la peine. Les plus beaux moments d'une vie sont ceux qu'on a pas encore vécu.


ax.brivoal@laposte.net, Posté le dimanche 07 octobre 2012 11:57

Il me dit sans cesse ce que j'ai besoin d'entendre.

Il ce sert des moments ou je suis la plus vulnérable pour ressurgir comme un lion sur une proie. Et j'ai l'impression de tomber, j'ai l'impression que mon corps lâche qu'il ne veut même plus essayer de lui résister et je sais pertinemment que je suis mieux sans lui, parce que je sais aussi qu'il n'est pas fait pour moi, je sais que c'est un charmeur, un vendeur de rêve et que jamais il ne pourra s'accrocher a mon bras.

Pourtant je l'aime, je suis folle de lui, il est comme une drogue, une drogue dur, il me brise et déchire le c½ur, il provoque sans arrêt mes plus grosses larmes, j'en ai marre d'être dépendante a son corps, son sourire, ses yeux bleus océan, ses mains chaudes et le son rauque de sa voix. Je veux lui faire mal moi ! Je veux qu'il souffre autant que moi, je voudrais qu'il ressente cette tentation et cette sensation de mal être.
Il me paraît tellement serein vis a vis de notre histoire, insensible, il ne m'aime pas.

(Peut-être volontiers utilisé pour un article de ton blog)
Bonne continuation :)


conseilsdefilles69, Posté le dimanche 07 octobre 2012 11:31

Bonjour, voici mon texte :)

La vie n'est qu'un long chemin.

A quoi bon vivre, alors que tout va s'arrêter. D'ailleurs, à quoi bon naître, alors qu'on sait pertinament qu'on va partir. La vie n'est que problème. On souffre, on pleure, on paye, on perd, on broie du noir, on pense que tout est fini. Ce serait tellement plus simple si tout le monde n'existait plus. Mais quelques fois, une personne rare, vous tend la main quand vous allez tomber. Cette personne vous aide à vous relevez, et elle vous fait découvir les bons côtés de la vie. Avec elle, on apprend la joie, le bonheur, on rit, on s'amuse, on tombe amoureux, on crées. Mais certaine personne pense ne jamais la rencontrer. Alors elles partent. Sans savoir qu'elle est là, toute proche. Avant, je pensais que la vie ne valait pas la peine d'être vécue. Je voulais que ça s'arrete, que plus rien ne me touche. Je me disait que rien ne me retenais. Alors j'ai cherché une raison de vivre. Et cette raison m'a tendu la main.


JustShare, Posté le dimanche 07 octobre 2012 08:35

Bonjour, je souhaiterais participer ! :) Voici mon texte, vous pouvez l'utiliser bien entendu. ;)

" - Mais qu'est-ce que tu veux à la fin ?!

Il avait rugit, et elle était restée totalement coite de stupéfaction, la gorge nouée et un coeur à l'envers. Ces mots résonnaient dans son esprit comme dans un tourbillon sans fin. Ce qu'elle voulait ? Aucune idée, et c'était ça le problème. Elle n'avait jamais su sur quel pied danser, elle n'avait jamais osé espérer ne serait-ce qu'une seconde de la vie, de peur d'être déçue, de perde ses bien fragiles ailes. Il fit un pas vers la porte, un étrange sourire aux lèvres, et elle ne put que le regarder faire tout en étant consciente qu'elle était entrain de le perdre. La main rugueuse rencontra la poignée et la jeune fille fut soudainement happée par une vérité qu'elle n'aurait jamais soupçonné. Elle ouvrit la bouche alors que des larmes qu'elle n'aurait su justifier dévalaient ses joues laiteuses.

- Je veux... Je veux que tu me prennes dans tes bras, que tu me serres à en avoir mal. Je veux respirer ton parfum, et surtout que tu ne me lâches sous aucun prétexte. Pour ne plus jamais me sentir seule. "

Voui, c'est pas terrible, et horriblement court mais Madame inspiration n'était pas au rendez vous x). Je vous souhaite une très bonne continuation. ;)

Pauline.


luluce24, Posté le dimanche 07 octobre 2012 07:57

L'amitié cest compliqué.
Tout n'est pas cool.
Il y a des moments de blanc et de noir total.
Tout comme la vie, tout n'est pas rose.
Rien n'est joué d'avance, il faut du temps; comme dans toute relation.
On garde de nos amitiés des souvenirs, à travers des photos, des lieux, des musiques.
Les ami(e)s s'est magique, il faut prendre soin d'eux pour les garder à nos côtés sans compter ! :)

Vous pouvez l'utiliser


Sunriseworld, Posté le dimanche 07 octobre 2012 07:45

Et Voici mon texte:

Impossible n'est pas humain, chacun se dépassera toujours.
Toujours plus haut, toujours plus loin: avancer sans retour.
Quitte à tout perdre, je me battrais, guidée sans cesse par ma fierté,
Orgueil et puissance sont maitres mots, régissant seuls ma destinée.
Mon unique but est le succès, ma raison de vivre: vous dépasser.
J'oserai ce que l'éthique dénonce;
Puisque la supériorité m'attire jusqu'à me perdre dans ses ronces.
C'est un chemin semé d'embûches, rares furent les rescapés:
Et quand Merteuil finit huée, Hitler s'est suicidé.
Tous les êtres vivants sont mus par la volonté de puissance:
Le pouvoir est le seul but de l'existence.
Vous dominer, simplement, peu m'importe le bien, le mal
Seul compte moi, ma vie, ma richesse, mes désirs.
Je suis toute entière tournée vers mes égoïstes plaisirs.
Jugez moi à votre bon grès, mais ne me parlez pas d'idéal:
<< Ils ne savaient pas que c'était impossible alors ils l'ont fait >>.


DesBellesCitations, Posté le dimanche 07 octobre 2012 06:51

Visiteur a écrit : "s'il vous plait j'ai commenté en visiteur et j'aimerais retirer mon commentaire, je ne veux plus participer à ce concours ! merci de retirer le texte posté avec l'adresse e-mail "clemence.penin@yahoo.com""

D'accord... j'ai supprimé ton commentaire.


Visiteur, Posté le dimanche 07 octobre 2012 05:27

s'il vous plait j'ai commenté en visiteur et j'aimerais retirer mon commentaire, je ne veux plus participer à ce concours ! merci de retirer le texte posté avec l'adresse e-mail "clemence.penin@yahoo.com"


The-Poultarie, Posté le samedi 06 octobre 2012 14:58

Tu as beau me dire que j’ai de la chance d’avoir encore ma maman, il me manquera toujours un « papa ». Ce mot est le premier prononcé par un enfant généralement. C’est cette personne qui te prenait dans ses bras lorsque tu as à peine quelques minutes. C’est aussi lui sur qui tu prenais exemple. Il n’y a qu’un père qui puisse dire à sa petite fille qu’elle est la plus belle fille du monde sans mentir. Il t’a appris à marcher, à faire du vélo. Lorsque tu étais enfant, il venait te chercher à la sortie de l’école. Une fois revenus chez toi, il te prenait sur ses genoux et tu lui racontais ta journée d’école. Dés qu’un camarade de classe te faisait du mal, il était là pour t’écouter et te dire quelle position adoptée. Il se débrouillait pour rentrer chaque soir avant le diner, afin de pouvoir te lire une histoire. Et même lorsque ses réunions s’éternisaient, il te téléphonait et venait t’embrasser une fois rentré. Il n’a raté aucunes de tes fêtes d’écoles. Il prenait toujours des tas de photos de toi. Il a toujours été présent lorsque tu avais des difficultés à l’école. Lorsque toutes tes amies se retournaient contre toi dans la cour de récréation, tu lui en parlais à lui. Il a conservé chacun de tes cadeaux de fêtes des pères. Tous tes dessins d’enfant, il les garde précieusement. Lorsque tu faisais un mauvais rêve la nuit, il accourait et finissait sa nuit dans ton petit lit d’enfant. A chaque fois que tu étais malade, il s’arrangeait toujours pour rester à la maison avec toi. Il savait comment te rendre ton si joli sourire lorsque tu étais triste. Il a passé une journée entière à courir les magasins par un temps d’orage pour retrouver un doudou identique au tien. Quand il te l’a rapporté, tu étais la petite fille la plus heureuse du monde.
Aujourd’hui, tu as gardé de très forts liens avec lui. Tu n’as pas honte quand il vient te chercher au lycée. Au contraire, tu es même plutôt heureuse que ce soit lui. Tu lui parles de tous ces garçons qui te font souffrir. Il t’emmène au cinéma. Il se fait sans cesse réprimander par ta mère de te donner de l’argent, alors que tu as déjà dépensé tout ton argent de poche, juste pour te voir sourire. Il te soutient à tous les matchs que tu disputes. Chaque fois que tu as besoin de pleurer, c’est sur son épaule que tu t’effondres. Il ne manque jamais de t’appeler le soir. Même si parfois il hausse la voix face à toi, il reste la personne qui t’a élevé. Il passe une soirée par semaine avec toi. Vous jouez, vous regardez un film en mangeant des pizzas, vous riez, vous passez du temps ensemble. Il est fier de toi. Il sait que tu réussiras ta vie comme il se doit. Tu es sa championne et tu le resteras. Tu es sa plus belle réussite. Il te montre tout son amour à travers de simples petits gestes quotidiens sans que tu t’en rendes compte. Si je peux te donner un seul conseil, c’est bien de profiter au maximum de ton père, parce que ne pas en avoir fait énormément souffrir.
Alors oui j’ai peut être encore ma maman, mais tous ces cadeaux de fêtes des pères entassés dans mon armoire restent sans propriétaire..


Because-Now, Posté le samedi 06 octobre 2012 13:21

Encore un :)

" J'ai passé une bonne heure devant cette page à me demander ce j'allais écrire, et j'ai finalement trouvé. Je vais écrire sur la peine, la tristesse, le chagrin. Vous savez, toutes ces choses qui consistent à former le Malheur. On en parle pas suffisamment. On a tous dans la tête, du moins je suppose, de la scène finale d'un film où tout s'arrange et fini bien. Je n'aime pas ces histoires où tout s'achève bien. C'est plus fort encore, je les hait tout bonnement.
La vraie vie n'est pas comme cela, rien ne fini jamais à la perfection. J'en suis un excellent exemple. J'ai raté ma chance plus d'une fois et si vous saviez à quel point je regrette désormais. Je regrette tellement que cela me ronge de l'intérieur. Il aurait été le seul à faire attention à moi comme cela et je l'ai laissé filer. Je suis une idiote, tout simplement. Il ne reviendra plus. Il n'y aura plus jamais rien à part de l'amitié et je le regrette de toute mon âme. Si je pouvait repartir en arrière et tout recommencer je le ferais sans hésiter. Désormais je me retrouve comme une idiote, seule avec mes sentiments pour lui. Mon handicap à moi c'est mon amour pour lui. "


Because-Now, Posté le samedi 06 octobre 2012 13:16

Un autre texte :)

" Dit moi, tu la vois cette fille là-bas ? Celle qui est assisse seule dans un coin du préau, ses genoux contre elle. A-tu une idée de se à quoi elle pense ? Aucune. Alors explique-moi, je t'en prie, pourquoi tu en rigole. Tu vois, tu ne sais pas toi-même. Maintenant écoute-moi, mais écoute bien. Je ne répéterai pas. Je vais te dire ce qui occupe ses pensées. Peut-être qu'elle pense à un être cher disparu, à une mauvaise note ou encore à la fin d'un livre qu'elle lit. Mais non. Ce n'est rien de tout cela. Au risque de te décevoir, elle pense simplement à sa situation actuelle. A comment elle a fait pour arriver à une tristesse aussi grande. Elle se demande pourquoi elle n'en parle pas à quelqu'un. Peut-être parce-qu'elle a dû mal à faire confiance désormais. Te rend-tu compte que même sa Meilleure Amie n'est pas au courant de se qu'il se passe dans sa tête et dans son coeur ? Oui je sais, moi aussi j'ai dû mal. Mais le plus horrible c'est que personne n'a remarqué que ça n'allait pas, que ses yeux mentaient. Non, personne. Elle aurait aimé pourtant. Juste que quelqu'un s'en rendent compte, que quelqu'un sache. Mais non. Et si actuellement elle regarde dans le vide, ce n'est pas parce-qu'elle n'a pas d'amis, c'est juste pour ne pas pleurer. Je pense que si aujourd'hui, à ce moment précis, on lui posait cette question : " Alors c'est ça le bonheur ? Se coucher en se disant 'Je n'ai pas pleurer ce soir.' ? " Elle répondrait que non. Tout simplement car même les soirs où elle se couche sans pleurer elle ne se sent pas plus heureuse. Il s'agit simplement de la douleur qui laisse un moment de répit avant de revenir à la charge. Maintenant que tu sais cela, vas-tu continuer ou la prendre en pitié ? Si ton choix est difficile je te rassure, aucun n'est mieux que l'autre. Ce n'est, ni tout blanc, ni tout noir comme on dit. Elle ne veut pas de la pitié des gens. Sinon elle crierais sur tout les toits ce qu'y ne va pas. Après tu fais comme bon te sembles. Pour ma part je trouve que critiquer et beaucoup plus simple. Nous n'avons pas besoin de chercher à comprendre et on se sent puissant, important et surtout on se sent heureux. Réfléchis-bien. Dois-je te préciser que elle, c'est moi ?

C. "


Because-Now, Posté le samedi 06 octobre 2012 13:15

Je t'envoie un texte pour le concours :)

" C'était lui, depuis le début. Et moi j'avais rien vu. Il m'est passé sous le nez, comme ça. J'ai même pas fait attention au fait qu'on aurait pu être bien ensemble. A croire que j'abîme tout ce que je touche. C'est vrai qu'on aurait pu être bien, lui-même me l'a dit. On aurait été heureux. Mais j'ai été trop idiote pour m'en apercevoir. Je ne dois pas être faite pour le bonheur, lui et moi ne sommes pas compatible. C'était lui, depuis le début. "


Blog-de-photos13, Posté le samedi 06 octobre 2012 12:24

le texte je te l'envoie par commentaire ou par message ??


CHISE-L0VE, Posté le samedi 06 octobre 2012 12:05

'est le seul,oui le seul qui me redonne le sourire! Dans c'est gestes,sa façon de faire..Lui tout entier me satisfait ! Si seulement tu le savais..Je ne sais pas comment tu réagirais! Peut être mal,peut être bien.Tu est le plus beau,le plus fort! Le meilleur,juste celui que j'aime,mon tout a moi,ma moitié! Je t'aime..en silence :$

Voila le texte.


CHISE-L0VE, Posté le samedi 06 octobre 2012 11:58

J'ai un texte que j'ai inventé je peux vous le donner? :))


Visiteur, Posté le samedi 06 octobre 2012 10:20

Moi c'est pas un texte --' :
"Pourquoi faire des rêves quand on sait qu'ils ne vont pas se réaliser ? Peut-être pour éviter de faire des cauchemars."


tanya-spirit, Posté le samedi 06 octobre 2012 08:33

Version original (avec faute, texte écris en pleure) :
Tu me manque. Et tu sais quoi, j'ai l'impression de perdre gout à la vie. Plus rien ne m'intéresse vraiment en faite... A part ça, le cinéma, ce que tu m'as laissé de toi. J'aimerais tellement que tu sois là pour que tu sois un minimum content de ma réussite. Mais rien à faire, j'ai beau le souhaité, l'écrire, demander aux autres, le rêver, le pleurer, le murmurer, le hurler ; rien n'y fais : tu ne reviens pas. De toute façon, je pourrais bien allé le gueuler en haut de la Tour Eiffel, à côté de tes cendres, sur la lune, au bout de chaque ligne téléphonique : tu ne reviendras pas non plus. Parce que maintenant j'en suis sure, je suis sure que même l'amour que je te porte ne feras pas rebattre ton coeur et te faire sourire. Parce que oui, la mort c'est tellement beau que personne n'en reviens même pas ceux qui risque la vie de millier de personne en participant à ce voyage qui coûte la vie. Alors, ça m'étonnerai que mon souhait de ma mort te face revenir à nos côtés. La réalité, c'est que j'ai peur de sourire. Mais à un point ! J'ai peur de sourire de nouveau, d'être de nouveau heureuse et de t'oublier. Je ne veux pas t'oublier, je veux pas oublier ce qui m'a rendu heureuse, et qui m'a fait aimé la vie. C'est tout simplement impossible. Logique non ? Alors pourquoi ? Pourquoi les autres ont oublié l'Homme qui les rendait heureux ? Par simple égoïsme «Toi t'es mort, moi je vie, faut que je profite» ? Ou simplement par respect ? Je ne sais pas, je ne sais plus rien de toute façon. Je sais pas dans quel merde je vais mais j'y vais et personne peut me retenir. Mon problème aujourd'hui c'est que je n'ai plus peur de mourir ; oui j'ai encore peur de la mort, de la mort qui arrache mes proches. Mais de la mienne ? Je m'en contre-fiche. Qu'elle arrive cette nuit se sera fini. Je voudrais que m'endormir sans jamais me réveiller, juste dormir paisiblement ; peut être à tes côté qui sait ? J'veux dormir en t'aimant de tout mon coeur, jusqu'à ce que celui-ci devienne poussière, jusqu'à ce que la poussière s'envole dans l'aire. Viens. Viens sécher chacune de mes larmes, détruire chacune passerelle de mon coeur pour le transformer en un coeur incapable d'aimer ; viens bouffer mon corps, je veux être tienne jusqu'à la fin des temps que ça plaise ou non. Je veux que tu me face du mal, pour me prouver que tu es toujours là, quitte à y passer. Je te veux, toi, maintenant de suite, avec ta meilleure amie qu'est la drogue, avec toutes ces filles et ces mecs à tes pieds ; je veux que tu sois avec lui et que je souffre à en saigner de votre relation amoureuse, je veux que tu me haïsse au point de vouloir m'a mort. Non, je suis pas maso, je suis juste une jeune fille, amoureuse d'un amour décédé.Pourquoi ? Dis moi pourquoi j'ai toujours voulu savoir à quoi ressemblait la douleur d'une veuve ? De jeune fille qui n'ont pas vu leur petit ami ou fiancé revenir de la guerre ? Je sais pas, j'ai toujours été attiré par cette douleur, juste pour pouvoir compatir, comprendre. Tu n'étais pas mon mari, tu n'étais pas mon petit ami, mais je t'aime, je suis amoureuse de toi. Et aimer quelqu'un qui est décédé c'est juste horrible. Tu veux pouvoir te réveillé du cauchemar. Le pire c'est que tu peux pas..! C'est pas qu'un cauchemar, plus j'avance, et plus je le comprend. Non. Non tu ne reviendras pas, non je ne verrais pas ton prénom s'afficher et voir un message de toi apparaître à l'ouverture, tu ne vas pas te foutre de moi parce que je suis hyper sensible. J'crois qu'il y a pas besoin d'être hyper sensible pour cette douleur, il suffit d'aimer et de perdre cette personne. Non, tu ne reviendras pas, Jamais. J'arrivais a avancé j'avais pas peur, j'grandissais plus avec la peur au ventre ; tout simplement parce que tu étais là. C'est con. J'ai jamais ressenti ça après le départ de quelqu'un. J'ai jamais du faire croire que j'étais malade pendant une semaine entière pour essayer de soulager la douleur. Qui elle a bien entendue fait que d'augmenter. Jour après jour, heure après heure, minute après minute la douleur m'bouffe. J'ai peur de rester, je veux pas y rester. Je veux vivre pour toi, tout ce que tu n'as pas pu vivre..

Version Corrigé :
Tu me manques. Et tu sais quoi, j'ai l'impression de perdre gout à la vie. Plus rien ne m'intéresse vraiment en fait... À part ça, le cinéma, ce que tu m'as laissé de toi. J'aimerais tellement que tu sois là pour que tu sois un minimal content de ma réussite. Mais rien à faire, j'ai beau le souhaiter, l'écrire, demander aux autres, le rêver, le pleurer, le murmurer, le hurler ; rien n'y fait : tu ne reviens pas. De toute façon, je pourrais bien aller le gueuler en haut de la Tour Eiffel, à côté de tes cendres, sur la lune, au bout de chaque ligne téléphonique : tu ne reviendras pas non plus. Parce que maintenant j'en suis sure, je suis sure que même l'amour que je te porte ne fera pas rebattre ton coeur et te faire sourire. Parce que oui, la mort c'est tellement beau que personne n'en reviens même pas ceux qui risquent la vie de personnes en participant à ce voyage qui coûte la vie. Alors, ça m'étonnerait que mon souhait de ma mort te fasse revenir à nos côtés. La réalité, c'est que j'ai peur de sourire. Mais à un point ! J'ai peur de sourire de nouveau, d'être de nouveau heureuse et de t'oublier. Je ne veux pas t'oublier, je veux pas oublier ce qui m'a rendu heureuse, et qui m'a fait aimer la vie. C'est tout simplement impossible. Logique non ? Alors pourquoi ? Pourquoi les autres ont oublié l'Homme qui les rendait heureux ? Par simple égoïsme «Toi tu'es mort, moi je vis, faut que je profite» . Ou simplement par respect ? Je ne sais pas, je ne sais plus rien de toute façon. Je sais pas dans quelle merde je vais mais j'y vais et personne ne peut me retenir. Mon problème aujourd'hui c'est que je n'ai plus peur de mourir ; oui j'ai encore peur de la mort, de la mort qui arrache mes proches. Mais de la mienne ? Je m'en contre-fiche. Qu'elle arrive cette nuit se sera fini. Je voudrais que m'endormir sans jamais me réveiller, juste dormir paisiblement ; peut-être à tes côtés qui sait ? Je veux dormir en t'aimant de tout mon coeur, jusqu'à ce que celui-ci devienne poussière, jusqu'à ce que la poussière s'envole dans l'aire. Viens. Viens sécher chacune de mes larmes, détruire chaque passerelle de mon coeur pour le transformer en un coeur incapable d'aimer ; viens bouffer mon corps, je veux être tienne jusqu'à la fin des temps que ça plaise ou non. Je veux que tu me face du mal, pour me prouver que tu sois toujours là, quitte à y passer. Je te veux, toi, maintenant de suite, avec ta meilleure amie qu'est la drogue, avec toutes ces filles et ces mecs à tes pieds ; je veux que tu sois avec lui et que je souffre à en saigner de votre relation amoureuse, je veux que tu me haïsses au point de vouloir m'es mort. Non, je ne suis pas maso, je suis juste une jeune fille, amoureuse d'un amour décédé. Pourquoi ? Dis-moi pourquoi j'ai toujours voulu savoir à quoi ressemblait la douleur d'une veuve ? De jeune fille qui n'ont pas vu leur petit ami ou fiancé revenir de la guerre ? Je sais pas, j'ai toujours été attiré par cette douleur, juste pour pouvoir compatir, comprendre. Tu n'étais pas mon mari, tu n'étais pas mon petit ami, mais je t'aime, je suis amoureuse de toi. Et aimer quelqu'un qui est décédé c'est juste horrible. Tu veux pouvoir te réveiller du cauchemar. Le pire c'est que tu peux pas...! Ce n'est pas qu'un cauchemar, plus j'avance, et plus je le comprends. Non. Non tu ne reviendras pas, non je ne verrais pas ton prénom s'afficher et voir un message de toi apparaître à l'ouverture, tu ne vas pas te foutre de moi parce que je suis hyper sensible. Je rois qu'il n'y a pas besoin d'être hyper sensible pour cette douleur, il suffit d'aimer et de perdre cette personne. Non, tu ne reviendras pas, Jamais. J'arrivais à avancer je n'avais pas peur, je grandissais plus avec la peur au ventre ; tout simplement parce que tu étais là. C'est con. je n'ai jamais ressenti ça après le départ de quelqu'un. je n'ai jamais dû faire croire que j'étais malade pendant une semaine entière pour essayer de soulager la douleur. Qui elle a bien entendu fait qu'augmenter. Jour après jour, heure après heure, minute après minute la douleur m 'bouffe. J'ai peur de rester, je veux pas y rester. Je veux vivre pour toi, tout ce que tu n'as pas pu vivre...

Vous pouvez utiliser le texte. Ce texte (et ce blog) et pour un ami décédé (je précise, au début on peut croire que c'est qu'une histoire d'amour fini donc bon.. :)♥


Loutre, Posté le samedi 06 octobre 2012 05:08

• Vous pouvez me joindre à l'adresse mail noemie_fernandes@hotmail.com
• Vous pouvez utiliser mon texte comme vous le voulez, il faut seulement créditer "Loutre"
• Le thème est le « Je »

« Je ».
C'est quoi, ça, « Je » ?
C'est moi, parait-il. Mais j'ai du mal à dire « Je ». Bon, pas là, quand je parle, j'écris, ou je pense, je suis moi, je ne peux pas penser en me disant « Elle » ou « ça », même si « ça » s'approcherait plus de l'image que je me renvois de moi-même. Non, j'ai du mal à dire ce qu je veux. Ce que je suis. Ce que je veux être, aussi, par ce fait.
« Je », c'est complètement abstrait si on y réfléchit un peu. Nous sommes tous un « Je » pour nous. Tout le monde est son propre « Je ». Alors je suis le mien, faute de pouvoir me débarrasser de moi. Je n'aime pas être moi. Ça doit être pour ça que j'aime autant le théâtre, au fond. J'ai beau être « Je » , je ne suis pas moi. Je peux être le « Je » de quelqu'un d'autre. Et je trouve ça fantastique.
Je suis quelqu'un d'autre quand j'écris aussi. Je suis l'héroïne que je veux. L'animal que je choisis. Je peux même être une sous-tasse si je le souhaite. Si c'est pas génial.
Et j'ai trouvé un autre moyen de ne plus être mon propre « Je ». Lire.
Au fond, j'ai été tellement de « Je » que je dois être plusieurs pour pouvoir changer de personnage si facilement.
Je n'estime pas mentir en n'étant pas moi-même. Bien que plusieurs personnes l'aient déjà pensé, je ne suis pas comme mon père. Je ne suis pas mythomane. Et je ne le serai jamais. Je ne serai jamais comme mon père. Jamais. C'est entendu ? Bien.
« Je » est une sorte de masque. On porte tous un masque pour nous-même. Sans même s'en douter. C'est inconscient. Et c'est absurde.
« Je suis. » « Je veux. »
Et il y en a des dizaines d'autres des comme ça.
« je ».
Comme si notre conscience devait être matérialisée, un peu. Mais seulement la nôtre, hein, pas celle des autres. Il n'y a qu'un « Je » pour nous.
C'est si égocentrique.
Au fond, je dois faire une allergie à l'humanité. L'humanité est si cruelle. Avec ce qui l'entoure, mais les hommes aussi sont cruels entre eux. Même petits, les enfants se tapent dessus, sous simple prétexte d'une petite différence physique, ou de langage.
Ne vous voilez pas la face. Je le sais, parce que j'en ai été victime, de cette cruauté pure, et pourtant si innocente. Cette cruauté qui m'a détruite tellement de fois.
L'autre jour, je parlais avec une amie de l'estime de sois. Et elle m'a dit que j'étais jolie. Je lui ai ri au nez. Je m'interdis la pensée même de me trouver belle. Ou jolie. Même un peu mignonne, laisse tomber. Et vous savez pourquoi ? Parce que si je n'ai aucune estime de moi, les autres ne peuvent pas me la détruire.
Faute de pouvoir me protéger de leur refus de la différence, j'assume la mienne en toute humilité. Je ne suis pas fière d'être obèse, loin de là. Mais Je ne le cache pas. Ce n'est d'aucune utilité. Et c'est vain.

Je me souviens d'un jour où mon petit frère et moi, on 'étaient cachés sous le bureau de notre grand-père, alors que nos parents se disputaient dehors très violement. Il a levé ses yeux noirs tout mouillés vers moi, en me demandant « Et maintenant ? » de sa petite voix de bébé de deux ans seulement. Je l'avais serré un peu plus fort contre moi en disant, essuyant mes propres larmes en disant : « Maintenant, c'est nous contre le monde, p'tit frère. »

C'est débile, mais c'est ce que je ressens.
« C'est nous contre le monde. »


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