Courir. Courir toujours. Sans s'arrêter. Fuir.
Fuir ce putain de passé qui nous colle à la peau, nous pourri notre journée, notre avenir, tout ce qu'on pourrait envisager d'être, de devenir, nous empêche de changer. Et se mentir, avancer, sourire à ces pauvres cons qui n'y comprennent rien. Sentir qu'on s'y attache, sentir la peur qui monte lorsqu'on se rend compte que la seule pensée de s'éloigner d'eux nous fend le c½ur. Putain d'attachement. Et l'Ombre qui grandit à l'intérieur, ronge et vous empêche de simplement souffler, ne serait-ce qu'un instant, se sentir enfin bien, sans penser à la noirceur qui nous entoure.
Fuir ce putain de passé qui nous colle à la peau, nous pourri notre journée, notre avenir, tout ce qu'on pourrait envisager d'être, de devenir, nous empêche de changer. Et se mentir, avancer, sourire à ces pauvres cons qui n'y comprennent rien. Sentir qu'on s'y attache, sentir la peur qui monte lorsqu'on se rend compte que la seule pensée de s'éloigner d'eux nous fend le c½ur. Putain d'attachement. Et l'Ombre qui grandit à l'intérieur, ronge et vous empêche de simplement souffler, ne serait-ce qu'un instant, se sentir enfin bien, sans penser à la noirceur qui nous entoure.
Sombres. Sombres Pensées. Sombres C½urs. Sombres Passés.
Peur, Fuir, Eragon
