
J'ai dû subir tes violences sans causer de scandale ; enfin tu m'as torturée avec les armes que je t'avais mises en main ; ma tendresse, mon amour pour toi t'ont servi d'étendard.
Ah ! tu m'as fait bien du mal, Jean, je te le pardonne puisque tel semble être ton désir. Mais chez moi pardon n'est pas l'oubli.
Ah ! tu m'as fait bien du mal, Jean, je te le pardonne puisque tel semble être ton désir. Mais chez moi pardon n'est pas l'oubli.
- Sarah Bernhardt -
Merci à Yume pour le titre.
Merci à Amy pour le texte.
Merci à Amy pour le texte.