Ne me secouez pas, je suis pleine de larmes.
- Henri Calet -
- Henri Calet -
« Le seul bien qui me reste au monde est d'avoir quelquefois pleuré. » Alfred de Musset
- 943 127 kiffs
- 127 223 commentaires
- 16 675 381 visites
Retour au blog de DesBellesCitations
« Le seul bien qui me reste au monde est d'avoir quelquefois pleuré. » Alfred de Musset
Marcel Proust, Alfred de Musset, Henri Calet, Pleurer, Larmes
412
| 18
|
Partager
Commenter
Alors je tourne en rond, je revis nos souvenirs en boucle, dans l'illusion que le bonheur passé finira par déteindre sur le présent pour nous redonner un avenir.
- Didier Van Cauwelaert -
Merci à "Diane" pour le texte.
Il y a dans notre âme des choses auxquelles nous ne savons pas combien nous tenons. Ou bien, si nous vivons sans elles, c'est parce que nous remettons de jour en jour, par peur d'échouer ou de souffrir, d'entrer en leur possession.
----------------------------------------------- Marcel Proust ----------Merci à Mutantsschool-rpg pour le texte.
La vie n'’est pas un sport qu’'on se contente de regarder. Gagner, perdre, ou faire match nul, la partie est en cours, qu’'on le veuille ou non. Alors allez-y, discutez avec l’'arbitre, changez les règles, trichez un peu. Faites une pause et soignez vos plaies. Mais jouez. Jouez ! Jouez le jeu. Jouez vite. Jouez librement. Jouez comme si il n’'y avait pas de lendemain. D’accord, l'’important n'’est pas de gagner ou de perdre, l’'important c'’est la manière de jouer.
Vous ne croyez pas ?
-------------------------------------------------------------------------------------------------- Grey's Anatomy -
-----------« La lecture est une amitié. » Marcel Proust.
Merci à Nostalgiquement pour la citation du titre.
Merci à Galope-mon-coeur pour le texte.
Merci à Galope-mon-coeur pour le texte.
"Ce n'est pas parce que les autres sont morts que notre affection pour eux s'affaiblit. C'est parce que nous mourrons nous-mêmes." Marcel Proust.
C'est seul qu'on fait son deuil, car on est seul quand on ressent. On apprivoise la douleur et la présence de nos absents. On se rassure face à la souffrance qui nous serre le cou, en se disant que là où ils sont, ils ont sûrement moins mal que nous. Alors on marche, on rit, on chante, mais leur ombre demeure, dans un coin de nos cerveaux, dans un coin de notre bonheur.
- Grand corps malade -
Design by DesBellesCitations
Abonne-toi à mon blog ! (750 abonnés)